NOS CONSEILS POUR INVESTIR

INVESTIR DANS LE NEUF

  L'investissement locatif dans l'immobilier neuf vous permettra de vous construire un patrimoine et d’alléger votre facture fiscale pour payer moins d'impôts.
  
Se constituer un patrimoine à crédit

Le plus souvent, en effet, mieux vaut investir à crédit. D'abord, parce qu'aujourd'hui, les taux d'intérêt sont inférieurs à la rentabilité de votre investissement, ce qui vous permet d'être réellement bénéficiaire. Mais aussi parce que les intérêts d'emprunt optimisent votre fiscalité. Ils sont, en effet, déductibles de vos loyers lorsque vous les déclarez au fisc.

L'achat

Pour que votre investissement soit rentable, il faut bien préparer l'achat. Pour cela, il vous faut établir une stratégie. Vous pouvez par exemple investir pour percevoir des revenus pour arrondir vos fins de mois. Vous pouvez choisir le neuf pour loger vos enfants ou vos parents, ce qui est possible avec la nouvelle défiscalisation Pinel. Sinon revendre pour obtenir un solide capital. Pour pouvoir effectuer votre achat, il vous faudra faire un bilan sur votre situation patrimoniale, professionnelle et financière.

Préparer sa retraite
La retraite peut se préparer grâce à l'investissement locatif. 10, 20 ou 30 ans à l'avance. Ce placement judicieux permet de compléter ses revenus après la vie active et de transmettre un patrimoine à ses enfants. Les étapes d'un investissement

La location
Afin d'avoir une bonne rentabilité sur l'investissement effectué, lors de la mise en location, il vous faudra prendre du temps pour bien calculer le loyer et choisir votre locataire. Le loyer est libre et résulte de la rencontre entre l'offre et la demande. C'est d'autant plus vrai que l'encadrement des loyers prévu par la loi Alur est annulé. Veillez simplement à ne pas proposer un loyer supérieur aux valeurs du marché. Vous ne seriez pas compétitif et vous risqueriez de ne pas louer. Pour sécuriser votre investissement, les ressources du locataire doivent représenter au moins trois fois le montant du loyer. Pour vous assurer de sa solvabilité, vous pouvez lui demander certaines pièces comme : son contrat de travail, ses trois derniers bulletins de salaire, son dernier avis d'imposition, les dernières quittances de loyer de son ancien logement et un relevé d'identité bancaire. Pour gérer votre investissement, deux solutions : vous pouvez vous occuper de tout, de l'achat à l'entretien du logement en passant par le financement et la sélection du locataire. Soit le promoteur choisi peut vous proposer des formules d'investissement tout compris. Elles incluent le logement, le financement, le remplissage locatif, la gestion, ainsi que de nombreuses assurances.

Payer moins d'impôts: La Loi de finances 2014 vote les dispositifs possibles dans le neuf, soit :

La loi Pinel
Le dispositif Pinel offre une réduction d'impôt lors de l'achat d'un logement neuf, à condition, qu'il soit mis en location pendant 6 ans au minimum. L'achat d'un appartement ou d'une maison en loi Pinel doit avoir lieu entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2016. La défiscalisation Pinel permet donc de baisser son impôt sur le revenu tout en devenant propriétaire d'un investissement locatif. Ce dispositif a été lancé par le gouvernement pour remplacer le dispositif Duflot qui peut encore s'appliquer aux logements acquis jusqu'au 31 août 2014. La loi Pinel est très proche de la loi Duflot dans son fonctionnement et dans ses conditions : plafonds de loyer Pinel, plafonds de ressources du locataire Pinel, plafond au m² et zones éligibles à la loi Pinel. Les frais de notaire réduits Les frais d'acte notarié sont fixés par décret et calculés sur le prix de vente toutes taxes comprises, les taxes perçues par l'État pour un logement neuf sont moins élevées que dans l'ancien. C'est pourquoi les frais de notaire sont réduits, variant de 2 à 3 % du prix de l'acquisition.

L'exonération de la taxe foncière
Les constructions nouvelles bénéficient d'une exonération temporaire de taxe foncière pendant deux ans. Cette exonération vise non seulement les habitations (principales ou secondaires), mais aussi locaux industriels, commerciaux, artisanaux ou professionnels. Toutefois, pour les locaux non affectés à l'habitation, l'exonération est partielle, puisqu'elle ne porte que sur la part régionale et départementale, mais pas sur la part qui revient aux communes. L'exonération court à compter du 1er janvier de l'année suivant celle de l'achèvement de la construction.